Présence de l’eau
Les eaux représentent les trois quarts de la surface de la Terre et plus de la moitié de la matière vivante terrestre.

Le cycle de l’eau
L’eau est centrale dans la stabilisation climatique et biologique. Elle circule sur terre sous différentes formes : nuages, pluie, rivières, mer et océans. L’eau transite de la mer à l’atmosphère, de l’atmosphère à la terre puis de la terre à la mer et aux océans , en suivant ainsi un cycle qui se répète indéfiniment depuis des millénaires.
Pourquoi la mer est-elle salée ?

Per l’écoulement continental les sels sont amenés par les pluies et les fleuves. Les eaux des océans pullulent de vie. Pourtant une cellule vivante, sauf rare exception, ne peut pas survivre plus de quelques secondes dans un environnement dont la salinité dépasse 6%. La teneur en sel de l’océan est de 3,4%. Elle n’a pas beaucoup changé depuis leur formation. Bien que la composition de l’eau de mer varie un peu d’une région à l’autre et en fonction de la profondeur de l’eau, cette proportion semble pourtant se stabiliser comme à protéger les conditions de la vie dans l’eau. Ce processus de reversement se poursuivant depuis des millénaires, nous porte à nous interroger sur :
Pourquoi la mer n’est-elle pas de plus en plus salée ?
L’océanographie, qui a pour objectif d’étudier les océans du monde entier, a permis la découverte de la caractéristique spécifique de l’océan formant un réservoir de gaz dissous qui assure la régulation de la composition de l’air que nous respirons. À partir de ces études nous devons nous demander comment le sel est extrait de l’eau de mer pour garder une composition acceptable pour la permanence de la vie dans l’eau.
L’hypothèse de Lovelock
Des roches pâteuses jaillissent du sol de l’océan et se propagent dans les eaux ce qui origine un « effet de siphon » qui fait disparaître le sel de la mer.
Cela peut être la conséquence de mécanismes inorganiques non vivants :
– Des pluie de débris qui se déposent dans le sédiment du sol marin ou se combinent avec les minéraux du sol océanique;
– Dans des zones de forte évaporation, cristallisation des sels et dépôts;
– La nature crée des barrières naturelles comme les récifs de coraux qui retiennent l’eau à plus forte évaporation; donc les dépôts de sels sont éliminés par les processus géologique naturels.
Lovelock propose une hypothèse en conclusion, c’est que le déplacement des oiseaux et des poissons migrateurs aurait pour but de recycler le phosphore donc le sel minéral présent dans le corps humain et dans les roches.



